Théâtre

« ADN », c’est, attends, comment dire? C’est l’histoire d’un groupe d’adolescents qui a fait, genre, une bêtise. Mais, vraiment, une très grosse bêtise. Parce que, bon, oui c’est vrai… C’est la merde! Je l’admets, je l’admets, je vais pas vous cacher que les choses sont délicates. C’est une situation… Bref, ils sont tiraillés entre la culpabilité et, enfin tu vois, la morale quoi, en fait, hein. Alors ils se posent la question, celle qu’on se pose tous quoi… : Qu’est-ce qu’on va faire? ADN, est l’histoire d’un groupe d’ados qui se cherchent et qui, par jeu, harcèlent l’un de leurs camarades, Adam. Paniqués lorsque celui-ci disparaît, ils se retrouvent alors dans un bois à l’abri des regards et y élaborent un plan pour ne pas être inquiétés… Entraînés dans une spirale infernale, ces adolescents devront apprendre à vivre avec le poids de leurs actes et gérer les implications de leurs décisions. Dans une tension croissante digne d’un thriller, la pièce de l’auteur-phare anglais Dennis Kelly – à l’écriture rythmée, grinçante et intensément dramatique – nous plonge au cœur d’un combat acharné entre sens éthique et instinct de survie, morale et culpabilité. Elle révèle des êtres humains dans ce qu’ils ont de plus beau et de plus sombre, des jeunes en quête de sens qui cherchent leur place, questionnent leur identité, remettent en doute le peu de certitudes qu’ils ont. Infos et réservation sur notre site internet.

Il y avait une fois dans un royaume un roi, une reine, un prince et c’est à peu près tout. Protégés de tout et de tous ils vivaient en harmonie loin des problèmes du monde, sans que jamais rien ne se passe. Mais un jour, Prince s’exclama « Je veux ! » La Compagnie Dérivation vous propose une version décalée et punk du célèbre conte d’Andersen !

C’est l’histoire d’une femme de 40 ans qui a consacré toute son énergie à sa famille – elle a deux enfants – et qui voit son mari partir en scooter pour une plus jeune de quinze ans, aux jambes interminables et aux seins généreux. C’est l’histoire d’une femme qui a du mal à avaler ça et qui veut donner une sacrée leçon à son mari, qu’elle a tant aimé, en cherchant un mafieux albanais pour lui arranger le portrait. Finalement, elle se plonge dans les manuels de psychologie et, découvrant les théories de Paul Watzlawick, décide de se faire justice elle-même. C’est l’histoire d’une femme pas déprimée du tout, qui va rendre la vie impossible au fugueur en scooter. Un monologue drôle, cru et déjanté évoquant la colère intérieure, le désir de vengeance et la faculté de sublimer les émotions les plus profondes. Un spectacle qui ouvre sur le temps, l’art, tout ce qui meurt, et la salutaire résilience des êtres vivants. Un atelier d'écriture (Que faire de nos colères ?) est organisé en parallèle à la pièce de théâtre. Infos et réservation sur notre site internet www.escaledunord.brussels.

Où se situe l'ultime frontière entre l’homme virtuel et l’homme authentique ?

Son humour scintille de trouvailles, son attention soutenue du monde qui l’entoure, ses lectures scolaires et personnelles l’inspirent. Dès lors, le verbe de Félix Radu s’anime et ses mots « s’improsent ».

Une comédie dans l'air du temps signée par les auteurs de la pièce "ma colocataire est encore une garce". La jolie et pétillante Juliette a mis le grappin sur deux pigeons de la plus belle espèce.

Kevin le forain ...notre « mannekenpiste » Son spectacle: L’histoire est un peu la sienne et vous tomberez forcément sous le charme !

« Rien ne sert de courir, il faut dormir à point. Oui, mais Lola ne dort pas. Elle ne dort plus depuis l’annonce du venin d’une boule sous son sein.

" Un seul être vous manque et tout est dépeuplé " écrivait Alphonse De Lamartine. Pierre ressent toute la profondeur de cette expression célèbre... Car Morgane vient de le quitter...

Si ce spectacle était un plat ça serait une sorte de hachis Parmentier avec des vrais morceaux de Constance à l'intérieur.